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L’histoire :
Dans la chambre d’un hôpital psychiatrique, un vieil acteur, narcissique
et colérique, règle ses comptes avec son producteur, qui l’a viré
de son dernier casting. Tel Zorro, son plus grand rôle au cinéma, il dénonce l’injustice et l’hypocrisie de notre société. Amoureux de Katalin, une jeune actrice
dont le souvenir hante ses nuits solitaires, il affronte ses fantasmes et ses vieux démons, dans un ultime duel contre lui-même, qui le conduira au bord de la folie.
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L’intention :
À la fois féroce et drôle, le texte donne à rire et à réfléchir sur le fameux « paradoxe du comédien », en proie à la démesure de son art et aux désillusions du métier. Victime de la société du spectacle, le personnage interroge la paranoïa ordinaire qui menace chacun de nous dans un univers surmédiatisé.
À travers le thème de la solitude et de l’enfermement, la pièce fait écho
à nos frustrations les plus intimes, rêves d’absolu brisés
contre les barricades de la normalité.
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La pièce :
Genre : comédie dramatique
Avec : Jean-Pierre de LAVARENE
Création photo : Isabelle LASSALLE
Adaptation et mise en scène : Estelle GAPP
Durée : 1 heure
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L'auteur : Henri-Frédéric BLANC
Né à Marseille en 1954, Henri-Frédéric BLANC vit à Aix-en-Provence.
Agitateur de conscience, il pratique une écriture baroque et subversive,
qui conjugue esprit critique et esprit d’enfance. Il développe un style impertinent, à la fois poétique et cru, philosophique et burlesque.
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Jean-Pierre DE LAVARENE,
comédien
dans le rôle de Zorro
Co-fondateur de la Compagnie Théâtrale Monceau en 1958, il monte Racine,
Molière, Anouilh. Après une carrière dans la communication, il reprend le
théâtre en 2003, avec la Compagnie TACA de François Dragon : en 2004, il
joue dans « Mephisto », d.après Klaus Mann, puis, en 2005, dans « Passage »,
de Christoph Hein. Il interprète le rôle de Don Diègue dans « Le Cid » de
Corneille, mis en scène par Henri Lazzarini.
Formé à l.atelier d.art dramatique de Patrick Bonnel, parrainé par Ariane
Ascaride et Jean-Pierre Darroussin, puis au cours de Philippe Ferran, il
joue, en 2006, dans « Danser à Lunghnasa », de Brian Friel, mis en scène par
Patrick Bonnel. Il rejoint la Compagnie Les Balbucioles pour leur première
création, « Démonomanie : chronique d.une paranoïa érotique », d.après
Henri-Frédéric Blanc, créé au Théâtre des 2 Rives à Charenton. En 2007, il
interprète pour la première fois un monologue, « Le Testament de Zorro »,
d.après Henri-Frédéric Blanc, créé au Théâtre Tallia (Paris 13e). |
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Estelle
Gapp, metteur en scène
Après dix ans de théâtre amateur, elle suit une formation à la
mise en scène au Théâtre de la Manufacture, CDN de Nancy. En 2001, elle
anime et met en scène un Atelier de lecture publique en milieu rural.
En 2005, à Paris, formée au cours d.art dramatique de Patrick Bonnel,
parrainé par Ariane Ascaride et Jean-Pierre Darroussin, elle joue dans « Zon
erotikon», cabaret de Laurent Schuh, et dans « Le Suicidé » de Nicolaï
Erdman, mis en scène par Arlette Desmots. Elle enregistre des lectures pour
France Culture et travaille pour le magazine « Sur Scènes » de Joëlle Gayot.
En 2006, elle créé la Compagnie Les Balbucioles, et adapte deux textes de
Henri-Frédéric Blanc : « Démonomanie, chronique d.une paranoïa érotique »,
présenté au Théâtre des 2 Rives à Charenton, puis « Le Testament de Zorro »,
créé au Théâtre Tallia (Paris 13e).
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Ce qu’en ont pensé les spectateurs : petite revue de blog
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« … un magnifique Testament de Zorro pour des spectateurs curieux
(...) une prouesse à saluer pour la qualité du jeu scénique et de l’interprétation
(...) un petit bijou de création (...) un véritable cadeau !
(...)
Chapeau bas à Jean-Pierre de Lavarene, qui réussit à dompter un texte
si contrasté. Avec panache, il module emphase et ironie, jusqu’au moindre détail mesquin, qui engendre le rire complice. L’ennui n’est pas de mise ! Impossible !
(...)
Incontestablement un joyau de théâtralité, qui n’a pas fini de faire parler de lui !
À voir et à revoir, ça aide à garder espoir et ça, ça fait du bien ! »
Cynna
Les Trois Coups www.lestroiscoups.com
« Zorro, Zorro, Zorrooooo ! Un texte plutôt drôle joué par un très bon comédien ! (...) il faut aller voir ce spectacle ! »
« Excellent !
Le texte est d'une grande beauté, avec des termes choisis qui piquent le spectateur au vif (...) Bravo pour la belle performance d'acteur ! »
« Très bon texte, bien écrit, bon acteur. Une belle interprétation.
Aucune hésitation à avoir... »
www.billetreduc.com
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La Compagnie Les Balbucioles
tient à remercier très chaleureusement :
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Henri-Frédéric BLANC
pour sa confiance et son amitié
Bertrand DESTRIGNEVILLE et Josette
pour leur
accueil enthousiaste au Théâtre
TALLIA
Samir KOLEILAT
et la société Acropolis Telecom pour leur
mécénat artistique
Muriel et Philippe DUBUS
pour la logistique et leur soutien passionné
Luc VAILLANT
pour son talent de magicien-infographiste
Benoît VALLET
pour sa patience légendaire et son talent de
régisseur général
Les porteurs de baignoire
Pour leurs muscles et leur dévouement !
les COMEDIENS qui ont bien voulu se lancer
dans l’aventure... |
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